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Mother may I sleep with danger, please ? - Jude
Soledad Lopez
Soledad Lopez
libre et spontané
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Mer 5 Sep - 18:31
Soledad Lopez

Just Noise



Le bruit dans la boite est assourdissant. Les musiques en rythme avec la lumière stroboscopique donne au tout une ambiance étrange, les corps découpés en mouvement extatiques semblent presque sortis d'un projets artistique un peu étrange dans ses grandes salles de musées presque inoccupées. Et ça sent l'alcool , ça sent la sueur et ça sent la clope , même en dehors du fumoir , la musique gronde sous les pieds et ça vibre des pas de tout les gens tout autours, des basses beaucoup trop importantes ,  il faut hurler pour s'entendre , parce que les gens hurlent , parce que c'est un immense brouhaha d'intonations , de hurlements , de rires , de musiques , de bruits de verres , de briquets , de bruits de vêtements qui se frottent les uns aux autres et le bain de foule est complet , rien de plus extraordinaire que cette ambiance. Tout autours n'est que mouvement extatiques , n'est qu'une ronde infinie , répétitive et tout les jeunes de  la ville s'accordent , on sort , le soir, on boit , on danse, on regrette et on recommence , parce que la nuit ici est plus folle que nulle part ailleurs, parce qu'on est importer par cet espèce de répétition entêtante , enivrante , presque, parce que l'ivresse apaise les maux , les pires , les meilleurs. Parce qu'on pourrait être qui on veut ici. Un peintre ici , une danseuse , là , un étudiant en médecine plus loin. Une sportive , plus loin. Qu'importe ? Ici ce n'est que des corps décharnés qui s'agitent , qui transpirent, qui hurlent, qui rient si fort. Ici peu importe le milieu, peu importe la situation , les gens sont les même sous les stroboscopes, des corps décharnés , des corps déchirés par la musiques entêtante. Et j'aime ça , moi, Soledad. Je m'y sent bien , dans ce mélange , bouillon de vie que j'embrasse sans aucune honte,moi au milieu de tout le monde entier, il me semble que je baigne au milieu de tout les corps , presque comme si j'étais  absorbé par l'univers et c'est grisant. 

j'ai perdu les gens avec qui je devais passer la soirée depuis au moins deux heures et je suis ivre. Et comme si tout ça ne comptait pas , je continue de danser , m'accroche aux épaules du garçon autours de moi , il a un sourire immense , presque beau dans son ivresse , lui aussi. Je ne le connait pas , n'en ai aucune envie. Il ne s'agit pas de charmé, j'en ai même pas envie. Il s'agit de partager, juste un moment avec un inconnu. Qu'il soit médecin, ingénieur ou éboueur , qui qu'il soit , je me laisse porter , le souffle court , jusqu'à disparaître dans un mouvement de foule , alors qu'il me sourit , que je lui sourit en retours. je me laisse porter par le mouvement des autres, n'ai aucune intention de résistance et l'ivresse m'en empêchais de toute façon. On est bien , là. Je me sens heureuse , d'un bonheur passager. Je ne pense plus à mes problème, je ne pense plus à mon âme liée, ni à Bruce Wayne. Je ne pense plus à personne , en fait.  La fête est ma seule exigence , son seul refuge, ce soir. je ne sais pas l'heure qu'il est , peut-être qu'il est encore tôt , je n'en suis pas sûre. Je ne saurais pas dire depuis combien de temps ont est là , la foule fait perdre tout les repères , il pourrait déjà faire jours dehors , je n'en serais même pas surprise.

Et c'est lorsque je sens ma gorge me brûler tant j'ai soif que je finis par décidé de s’engouffrer hors de la foule , mon chino noir me colle à la peau et mon t-shirt blanc semble tremper de sueur , de bière , de tout un tas de fluide qu'on ne trouve sans doute qu'ici , en boite de nuit. Je me sens essoufflée et tremblante et lorsque j'arrive enfin au bar , remplis de toute part par tout les gens qui viennent se recharger en boisson , je tente de me faufiler, sortant de mon petit sac à main Valentino en daim mon téléphone qui indique une heure trente du matin , je souri , parce que la nuit ne fait que commencer et commande un gin tonic au bar. Et le barman me fait un grand sourire que je lui rends lorsque je paie ma consommation. Je file de nouveau dans la foule pour sortir dans le fumoir extérieur , une grande terrasse en plein air  d'où la musique parvient encore dans un volume presque déraisonnable et je cherche une place assise , inspirant l'air froid , glaciale même de la ville la nuit. Les lumières de la ville illuminent à elles seule la terrasse qui n'a pour lumières que des petites guirlandes aux led faibles. C'est à côté d'un garçon aux joues plaines , grand et puis vraiment l'air doux au visage que je fini par trouver ma place. C'est le garçon de la foule. C'est lui qui m'a sourit , qui m'a aidé à ne pas me faire emporter dans la foule tremblante de la plus grande boite de la ville. Je glisse mon verre vers lui. « - Tu n'es pas trop ivre ? » Je lance , comme si ça importait vraiment. Comme si tout le monde ici n'était pas trop ivre. On est tous ivre , on est tous dans une sorte d'euphorie malsaine, presque comme si les étoiles s'étaient toutes alignées pour qu'on passe une soirée presque inimaginable. « -Je m'appelles Soledad. » Je continue, comme si de rien n'était et puis j'inspire fort. Je pense à Ulrich. Je pense à la mer et à notre soirée étrange. Je pense à le déception , quelque part. J'aurais voulu qu'Ulrich me fasse un sourire aussi éclatant que celui de l'être assis prêt de moi.

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Jude Miller
Jude Miller
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Jeu 6 Sep - 10:19
Jude Miller
mother may i sleep with danger, please ?

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On était lundi soir et, après toute une journée passée à déchirer des billets sous le regard hautain de badauds venus payer 15 dollars une place de cinéma pour aller voir il ne savait trop quel navet qu’ils pourraient trouver gratuitement un mois plus tard sur le net, Jude avait tout naturellement accepter l’invitation d’Ethan à sortir.
Il avait pensé aller dans un bar, boire quelques bières et rentrer se coucher après avoir maugréé sur son patron et ses collègues tous plus cons les uns que les autres, mais s’était finalement retrouvé traîner dans une boite de nuit et abandonné au bout de deux heures par son camarade de soirée au profit d’il ne savait trop quelle gonzesse.
Mais qu’importe.
Avec déjà un petit coup dans le nez, sa mauvaise humeur l’avait quitter au profit de l’effervescence des lieux.
Il se laissait emporter par l’alcool, la musique et tous ces corps se mouvant sans pudeur, dans un ballet disgracieux et cacophonique, mais diablement envoûtant.
Ici l’alcool coulait à flots, de même que la drogue et, si Jude s’était contenté de quelques sky, il sentait d’or et déjà son corps se laisser porter au gré des flots, comme séparé de son esprit, de sa raison.
Il était bien, suffisamment saoul pour savoir profiter sans penser aux heures de boulot qui suivraient, mais pas encore assez pour se réveiller avec la gueule de bois et passer la journée du lendemain sous aspirine à éviter le moindre son un peu trop fort.
Se laissant porter par la musique, il souriait aux quelques femmes lui lançant des œillades entendu, mais sans jamais aller plus loin.
Il n’avait pas envie de ça, pas ce soir.
Si vraiment elles étaient intéressées elles n’avaient qu’à faire le premier pas et il suivrait, mais pour l’heure il avait simplement besoin de se vider la tête.
Aucune d’elles ne se décida à lui parler, aussi finit-il par les ignorer d’un haussement d’épaules et retourner s’hydrater d’éthanol au bar.

Depuis deux jours, aucune nouvelle d’Alba.
Non pas que Jude en attendait, loin de là même. Simple constatation naissante de son observation des environs et des quelques femmes dansant à moitié nues dans leurs vêtements bien trop courts, poussant au vice et à la luxure.
De tous les péché capitaux, il n’y avait guère que l’avarice que Jude n’avait pas encore expérimenté.
Car s’il n’était pas l’être le plus généreux que cette terre eu un jour porté, il était loin d’être avar.
Paresseux, plus souvent qu’à son tour. Colérique, comme n’importe quel être humain excédé par un autre ou par le temps qui passe et les aléas d’une vie sans but. Envieux de la vie qu’avaient les autres lorsqu’enfin il n’avait pas le droit à certains films, à certaines sorties et à certains jeux dont tout ses camarade vantaient les mérité. Gourmand au point de parfois manger plus qu’à sa faim pour le simple plaisir de sentir le gras et le sucré couler dans sa gorge, remède à bien des maux que la médecine traditionnelle peine à soigner, telles les peines de cœur et la rancœur.
Comme tout homme, il avait son petit orgueil, ne supportant ceux le prenant pour plus con qu’il ne l’était réellement. Certes, il n’avait aucun diplôme et ses jobs puaient la merde, mais Jude savait pourtant qu’il fallait vingt fois plus que certaines personnes diplômé d’Harvard ne connaissant rien au monde réel, protéger dans leur bulle de coton.
Quant au dernier, au plus intéressant de tous, il avait cédé à la luxure sitôt qu’il fut en âge de se reproduire. Peut-être même avant, selon le sens que certains choisissait de ce dernier.
Riant à cette pensée, il ferma les yeux et se laissa emporter par la musique, par cette foule d’inconnus au travers laquelle il aurait pu reconnaître quelques visages familiers, quelques habitués, mais qu’il observait désormais sans la voir.

Face à lui une femme aux joues rosées, les cheveux en bataille et ses vêtements témoins du temps qu’elle avait passé dans la foule.
Plutôt grande, des formes généreuses et un visage d’une lisseur presque irréelle, elle était mignonne comme tout.
Un côté femme couplée à une candeur enfantine suintant par tous les pores de sa peau couverte de transpiration.
À sa vue, Jude ne put s’empêcher de sourire et, alors qu’elle relevait son regard vers lui, elle répondit à son sourire avec une sincérité touchante.
Contrairement aux filles du début de soirée, nulle arrière pensée ne transparaissait derrière ce sourire plein, seule l’ivresse la gaieté induite par cette dernière y semblait tatoué à l’encre indélébile.
Le jeune homme se prit à lui sourire avec plus de sincérité encore, son regard à demi voilé par l’alcool, mais le corps aussi léger qu’une plume.
Plusieurs longues minutes passèrent sans qu’aucun ne détourne le regard ni se rapproche de l’autre. Ils dansaient simplement, anonymes au milieu d’une foule d’inconnus.
Finalement, la jeune femme se fit emporter par la foule et, un sourire naissant à la commissure de ses lèvres, il l’a laissa s’en aller non sans un dernier regard pour elle.
Aller et venu de gens que Jude ne reverrait sans doute jamais.
Échange d’œillades aboutissant à une danse, puis plus rien.

Serrant ses bras autour de son torse en réponse au froid mordant du dehors, Jude prit quelques longues secondes à s’habituer à la température rafraîchie de ce mois de septembre avant de sortir son paquet de cigarettes de la poche arrière de son jean.
En portant une à ses lèvres, il l’alluma d’un geste machinal avant d’en inspirer une longue bouffée et soupirer de contentement.
Dieu que ça faisait du bien.
Souriant à la pensée qu’il jurait décidément pour n’importe quoi, il rangea son briquet et son paquet à demi vide à leur place avant de lever les yeux vers le ciel étoilé terni par les lumières de la ville et soupirer.
D’ici quelques heures, il serait de retour au travail. Youpi.
Écrasant sa clope contre la rambarde de la terrasse, il jeta cette dernière par dessus avant de se retourner et de s’y accouder.

« - Tu n'es pas trop ivre ? » Une voix non loin de lui le tira de ses pensées. Un air interrogateur sur le visage, Jude se retourna vers l’origine de la voix avant de sentir son visage s’étirer dans un sourire en remarquant la jeune femme de la foule, un verre tendu en sa direction.
C’était bien la première fois qu’une femme lui payait un verre tien.
La première fois également qu’il voyait quelqu’un le faire tout en demandant à son interlocuteur s’il n’était pas trop ivre.
Drôle d’entrée en matière faisant doucement rire le brun. « Ivre si, mais pas encore bourrée » Répondit-il non sans sourire, acceptant avec plaisir le verre que la jeune femme lui tendait.
Elle était encore plus mignonne de près.
À vu de nez, il dirait qu’elle devait avoir à peu près son âgé, à deux ans près. « -Je m'appelles Soledad. » « Jude »
Sortant son paquet de clopes d’un geste automatique, il s’en sortit une qu’il pinça entre ses lèvres avant de tendre ce dernier en direction de Soledad, la questionnant du regard. « Tu sais que c’est bien la première fois qu’une fille m’offre un verre ? Devrais-je m’en sentir offusquer dans mon intégrité de mâle blanc cisgenre et hétéro ? »
Taquinât-il, le regard pétillant et son paquet toujours tendu en direction de la jeune femme.
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Soledad Lopez
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Jeu 6 Sep - 18:28
Soledad Lopez

White Noise


Il sourit quand il me voit , l'inconnu aux beaux yeux. Je sais pas trop pourquoi mais il me fait un effet étrange. L'impression de connaître les contours de son visage.Ou peut-être que je suis plus ivre encore que je ne le pensais. J'en sais rien mais c'est beau , ce soir. Les cris et les rires. Les discutions et puis les gens qui s'embrassent parce que c'est ça la jeunesse. On tombe plus amoureux trop longtemps. Seulement une nuit , ça suffit. Pour ça en tout cas , ça suffit.  Les gens s'aiment et brûlent si vite. Jusqu'au matin et jusqu'à la migraine. Pas besoin de plus quand on les voit rire. Et au milieu de ça , quand on regarde les lumières de la ville , on se sent bien étrange. Il me sourit l'inconnu. Et je lui demande s'il est ivre. S'il est aussi ivre que moi. Je me sens légère , pour la première fois, ou la millième je ne suis pas sûre. Toujours enfermée dans ce corps si lourd , ici ça va. Ici je me sens jolie. Je me sens légère sous son sourire à l'inconnu. Rien qu'un sourire pas besoin de plus. Juste de la musique et de l'alcool , un peu trop de gin tonic et j'imagine Tom me hurler dessus , demain. Me dire que ça suffit. Que si j'ai décider de laisser tomber ma putain de carrière , j'devrais au moins faire un effort pour la sienne. La pensée me fait rire. Bêtement parce que demain, je vais devoir assumer les conséquences de mes actes de ce soir. Et je pourrais dire que ça m'angoisse. Que je suis inquiète. Mais à vrai dire , même pas. J'attends juste mon sort. Je lui demandes s'il est ivre , parce que j'ai envie d'entendre sa voix. J'voudrais qu'il me dise que c'est pas important. Qu'on s'en fou après tout. Pas vrai ? « - Ivre si, mais pas encore bourré »   Ça me fais sourire , cette déclaration. Je lui tends plus encore mon verre , qui glisse entre ses doigts à lui , frôlant les miens , dans un contacte physique qui sera sans doute le seul. Anodin , demain , je l'aurais oublier. C'est peut-être aussi ce qui fait la beauté du geste , quand ça devient si peu important que ça pourrait être n'importe quoi. Je laisses tomber ma tête en arrière pour essayer de voir les étoiles , mais y'a rien de plus qu'un ciel noir d'encre sous mes yeux.

Je lui donne mon prénom. Comme ça , on sera plus jamais des inconnus. Je ne serais plus jamais la fille qu'il a rencontrer en boite.  Ça a quelque chose de magique , quand on y pense, de donner son prénom. Tout à coup , on est plus un inconnu. On porte une identité propre aux yeux de l'autre. Il y a quelques seconde encore , je n'étais que cette fille , dans la foule. Et maintenant je suis. Un individu , hors de la foule. C'est fou aussi , comme lorsqu'on oublie le prénom d'une personne , celle-si redevient immédiatement lointaine , inaccessible. Elle disparaît dans le méandres des gens sans importances. On aurait pu il y a quelques mois partager quelque chose de fort avec cette personne. Le lit, même. Mais lorsqu'on oublie son prénom , ce n'est plus pareil. Elle disparaît. C'est plus fort qu'on ne le croit , d'ailleurs. Le pouvoir de l’identité. Et je livre la mienne , en espérant qu'il ne  l'oublie pas.  « - Jude » Il réponds. Et moi je répète son prénom , une fois et puis deux , dans ma tête pour ne pas l'oublier. C'est presque romantique , comme situation. Pas assez pour que j'ai envie de faire quoi que ce soit de cette information. Je ne suis pas là pour charmer.

« Tu sais que c’est bien la première fois qu’une fille m’offre un verre ? Devrais-je m’en sentir offusquer dans mon intégrité de mâle blanc cisgenre et hétéro ? » Et ça me fait pouffer de rire immédiatement et puis rire franchement , bien vite. Je hausse les épaules , sans trop savoir quoi répondre. « - Peut-être. » Je l'observe malicieuse , un air innocent au visage. « - Ceci étant dit , j'ai déjà bu dans mon verre , alors on va dire qu'on le partage et que je ne te l'offres pas. » A mes mots , je me penche vers lui , vers le verre et glisse mes lèvres autours de la paille pour en aspiré un peu, me rappelant tout a coup que je suis assoiffée. Et quand j'ai décoller mes lèvres de la paille , je reste proche , lui fais un sourire et cherche un stylo dans ma pochette, pour noter sur le coin de sa main gardée galamment immobile mon numéro de téléphone. Ce sont mes amies que je vois au loin , et Bobby me fait un grand signe de la main. « - Je dois m'enfuir , mâle blanc cisgenre et hétéro.  A bientôt.»  Une bise sur la joue et je disparaît dans la foule.  

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